Je le regardais se redresser légèrement et je souris, me penchant pour l'embrasser. Je frissonna lorsque ses mains caressèrent la peau nu de mon torse. Mon corps était figé à jamais à ce qu'il était lorsque mon amant m'avait transformé.

La seule personne qui m'avait toucher et que j'avais touché, je ne m'en souvenais plus alors que je n'aurais jamais été capable de cela par moi-même et jamais je ne l'aurais demandé.

De là où j'étais assis je devinais son début d'excitation, pour ma part je ne me faisait qu'allumeur, bien que je désirais plus que l'allumer.

- Le tien aussi est parfait, Amaël. Tu m'as manqué énormément.

Je lui retirais aussi son chandail, me penchant pour l'embrasser sur l'épaule

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Assit sur ses hanches, je caressais ses flancs doucement, redessinant ses muscles du bout des doigts. Ses côtes, ses pectoraux, son ventre... Je ne pus m'empêcher de sourire à ses dires et posai mes mains à plat sur son ventre et les laissai remonter jusqu'à ses épaules. En même temps que je les faisais monter, je descendais pour l'embrasser.

- J'en prendrai très soin mon amour, même si tu n'a pas besoin de t'entraîner. Nos corps sont figé dans le temps, Amaël, à jamais.

Je frémis à ses caresse sur son mon torse nu avant de le plaquer au sol en souriant en coin

- Tu sais, je ne crois pas que la cuisine soit le meilleur endroit pour ça

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Clairement, faire l'amour sur la céramique du plancher de la cuisine, ce n'était pas l'idée du siècle. Naturellement, ce n'était pas confortable mais aussi nous risquions d'être surprit par les enfants. Pour ma part, je préférais éviter que les petits nous surprennent les culottes baissées en train de forniquer. Cela allait les traumatiser...

Je souris à mon amant et amour en me redressant.

- Tout simplement dans la chambre, à moins que tu préfères le comptoir ? Je rigole en partant à vitesse vampirique dans un jeu de chat et de la souris.

N'étais-ce pas quelque chose que nous aimions, nous chasser mutuellement pour nous attraper, nous chercher, nous provoquer tout simplement. Des préliminaires longs, mais amusant aussi.

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Le jeu avais commencé, chat et souris, les rôles n'étaient pas réellement donné. Caché, je ne respirais plus, ne laissais aucun bruit être entendu. Derrière moi, j'avais entendu Amaël me suivre. Aucun doute que mon amant et amour de longue date était allé directement dans ma chambre. Un sourire aux lèvres, je me souvenais de nos jeux de la sorte lorsque nous étions encore proche. Cette proximité qui s'était brisé avec son départ et la souffrance qui en avait résulté. Néanmoins, j'espérais que nous retrouverions rapidement notre complicité d'entant.

Toujours à l’affût, je réfléchisais à ses paroles. Je ne me souvenais absolument pas d'être aller au bras d'un seul homme, ni de connaître un vampire du nom qu'il avait cité. Je soupirais doucement. Il n'y avait pas moyen de comprendre sa vision.

Finalement je l'entendais repartir à la course. Je souris en coin, il ne me trovuait pas, je l'espérais néanmoins. Mais je ne me laisserais pas dominer facilement. Quoi que je ne le voulais pas. Je voulais réexplorer son corps et en profiter, qu'il s'abandonne à moi.

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